CONVERSATIONS, OU LES ARTS DU FEU A 4 MAINS
Du 12 octobre au 22 décembre, le Grand Presbytère se prête à la confrontation de deux artistes, Michel Goldstyn et Christian Ghion, qui dans des « Conversations, ou les Arts du Feu à 4 mains », nous parlent de techniques ancestrales, de différenciations et parviennent au rapprochement dans des visions et des formes nouvelles.
Cette exposition est née d’une improbable amitié entre deux titans. Une rencontre entre l’artisan, figure majeure d’une société qui répond à des usages et le designer créateur d’esthétique qui projette un imaginaire.
Au programme : confrontations de caractères, styles qui s’entrechoquent. Mais deux âmes magnifiquement incarnées.
Le fort attachement de Martres-Tolosane à l’artisanat ne s’oppose à la révolution des usages. Au contraire, c’est une ère nouvelle qui s’ouvre au Grand Presbytère, celle du brassage de l’artisanat et de l’industrie.
Sous cet angle nouveau, Michel Goldstyn, le potier, est un inspirateur dont le savoir-faire constitue une vaste réserve.
Christian Ghion, le designer est un « respirateur », qui renouvelle les savoirs-faires en leur donnant la réflexion de l’actualité.
« Conversations, ou les Arts du Feu à 4 mains », c’est avant tout un designer et un artisan qui s’intéressent à la poésie des objets. Deux disciplines ouvertes qui nécessitent des partenaires de jeu. Le Grand Presbytère y a souscrit du 12 octobre au 22 décembre prochain.
Artistes
À propos de l'exposition
Artisans d’art et designers : de nouveaux horizons
Tradition française, le travail en collaboration entre designers et artisans d’art existe de longue date. Aujourd’hui, il devient de plus en plus ambitieux, échange d’intelligence technique, formes nouvelles, et surtout, appétit pour la beauté.
Dialogues et défis .
Le compagnonnage entre créateurs et artisans est une tradition française.
Dans leurs discussions, il y a toujours une notion de dépassement dans laquelle la main de l’homme demeure un ingrédient irremplaçable des créations.
« Le dialogue avec les artisans est toujours un défi. On croit leur demander des choses simples, mais souvent elles se révèlent très compliquées pour eux. Il n’est pas question que le designer ordonne et que l’artisan exécute. Ce n’est qu’à travers la discussion que l’on peut transcender un projet. »
Du 12 octobre au 22 décembre, le Grand Presbytère se prête à la confrontation de deux artistes, Michel Goldstyn et Christian Ghion, qui dans des « Conversations, ou les Arts du Feu à 4 mains », nous parlent de techniques ancestrales, de différenciations et parviennent au rapprochement dans des visions et des formes nouvelles.
Cette exposition est née d’une improbable amitié entre deux titans. Une rencontre entre l’artisan, figure majeure d’une société qui répond à des usages et le designer créateur d’esthétique qui projette un imaginaire.
Au programme : confrontations de caractères, styles qui s’entrechoquent. Mais deux âmes magnifiquement incarnées.
Le fort attachement de Martres-Tolosane à l’artisanat ne s’oppose à la révolution des usages. Au contraire, c’est une ère nouvelle qui s’ouvre au Grand Presbytère, celle du brassage de l’artisanat et de l’industrie.
Sous cet angle nouveau, Michel Goldstyn, le potier, est un inspirateur dont le savoir-faire constitue une vaste réserve.
Christian Ghion, le designer est un « respirateur », qui renouvelle les savoirs-faires en leur donnant la réflexion de l’actualité.
« Conversations, ou les Arts du Feu à 4 mains », c’est avant tout un designer et un artisan qui s’intéressent à la poésie des objets. Deux disciplines ouvertes qui nécessitent des partenaires de jeu. Le Grand Presbytère y a souscrit du 12 octobre au 22 décembre prochain.
Michel GOLDSTYN, potier, incontournable artisan du Salon des Arts et du Feu depuis 2008 et Christian GHION, designer, invité d’honneur de la 23ème édition du Salon des Arts et du feu, les 1er, 2 et 3 novembre 2024.
L’exposition des œuvres entremêlées de ces deux grands artistes nous enchante et nous invite à la rencontre de l’artisanat et de l’industrie orchestré par deux amoureux de l’art.
Le fort attachement de Martres-Tolosane à l’artisanat ne s’oppose pas à la révolution des usages, au contraire… c’est une nouvelle ère qui s’ouvre au Grand presbytère.
Venez découvrir nos deux partenaires de jeu et laissez-vous porter par la poésie des objets.
