J’AI DIX ANS – 2ème Acte
Exposition anniversaire – Second acte
Célébrer l’élan de l’art, poursuivre l’émotion
Dix années d’existence, ce sont autant de traces laissées par la création, de dialogues tissés entre œuvres et regards, de rencontres sensibles entre les artistes et le public. Depuis sa création, le Grand Presbytère s’est imposé comme un lieu de passage, d’expérimentation, de résonance. Une maison de l’art ouverte sur le monde, où les matières et les émotions dialoguent en profondeur.
Pour célébrer cette décennie, une exposition anniversaire en trois actes propose de revisiter les chemins parcourus tout en regardant vers l’avenir.
Après un premier acte confrontant les œuvres, en les laissant dialoguer à nouveau ou pour la première fois, le second acte prend un nouveau souffle : celui de la transmission, de l’élan, du vivant.
En rassemblant Emmanuel Kieffer, sculpteur reconnu pour sa capacité à interroger les tensions entre équilibre et mouvement, avec Laetitia Mirouse et Véronique Clanet, ce second volet explore la fragilité et la puissance du monde sensible.
Ce second acte se présente ainsi comme un temps de bascule, entre enracinement et renouveau, entre présence au monde et projection sensible. Cette exposition tisse un fil invisible entre passé et présent, entre mémoire et mouvement. Elle met en lumière les traces laissées, les fidélités durables, les chemins artistiques qui se sont transformés, et la richesse de l’écosystème créatif que le Grand Presbytère a su faire naître et nourrir.
C’est une manière d’affirmer que l’art n’est pas seulement une réponse esthétique, mais une nécessité vitale : celle de ressentir, de relier, de transmettre.
Artistes
À propos de l'exposition
Dix ans de création, d’émotion et de partage.
Il y a dix ans, un lieu s’ouvrait, une aventure commençait.
Aujourd’hui, le Grand Presbytère célèbre dix années d’art vivant, de rencontres et d’audace.
« J’ai dix ans » n’est pas qu’un anniversaire : c’est une célébration du chemin parcouru, une traversée entre mémoire et mouvement.
Une exposition vibrante, entre passé et présent, où se croisent œuvres, archives, voix et regards.
Ce second acte marque un tournant : un équilibre entre enracinement et renouveau, entre mémoire et mouvement.
L’exposition tisse un fil invisible entre passé et présent, révélant les traces laissées, les fidélités durables, les métamorphoses artistiques et la richesse de l’écosystème créatif né au Grand Presbytère.
Car ici, l’art n’est pas seulement une réponse esthétique — il est une nécessité vitale : ressentir, relier, transmettre.
Merci d’avoir fait battre ce lieu. Merci d’en écrire encore l’histoire.
